a) mécaniquement : un arbre anime des meules, soufflets, marteaux pilons, broyeurs, ventilateurs, machines outils, agitateur, etc.., totalement ou en complément d'un moteur électrique
b) production d'électricité, avec plusieurs possibilités :
- couplage au réseau et vente totale ou partielle de la production électrique via un contrat aidé (H07, H16, ..) : EDF demande au producteur de présenter une "autorisation d'exploiter" délivrée par la DDT.
- couplage au réseau et vente totale ou partielle de la production électrique directement sur le marché : la plupart du temps moins rémunérateur, mais moins de contraintes
- autoconsommation avec couplage au réseau, sans vente du surplus : contrat avec Enedis, l'installation bénéficie de la qualité du réseau, elle doit comporter une protection de découplage, le surplus de courant injecté sur le réseau n'est pas rémunéré
- autoconsommation avec couplage au réseau via un onduleur "zéro injection" : pas besoin de contrat avec Enedis, l'installation bénéficie de la qualité du réseau, l''onduleur n'injecte jamais, la régulation est plus complexe
- autoconsommation sans couplage au réseau : aucune formalité, énergie disponible même lors des pannes réseau mais installation assez complexe pour obtenir un courant de qualité
- Les machines asynchrones peuvent être de simple moteurs entraînés au delà de la vitesse de synchronisme pour les petites puissances (moins de 30 kW environ), pour les puissances plus importantes mieux vaut utiliser de "vraies" génératrices asynchrones.
- Les machines synchrones (alternateurs) peuvent comporter un rotor bobiné (maintenant toujours sans balais et avec un régulateur automatique de tension AVR), ou à aimants permanents (PMG), ou un mix des deux.