Inventions, hydroliennes, mini turbines, vortex
-
- Membre
- Messages : 14
- Inscription : 15 mars 2017, 18:39
Re: Utiliser de l'eau extraite du forage et la transformer en Energie électrique?
Cela me semble bizzarre , a moins que quelque chose m' échappe !!!
-
- Membre
- Messages : 31
- Inscription : 12 août 2015, 01:00
- Localisation : Massif cental, bassin du Rhône
Re: Utiliser de l'eau extraite du forage et la transformer en Energie électrique?
Bonsoir
Si l'eau remonte seule du forage (et avec les autorisations qui vont bien) vous avez effectivement un potentiel de production.Mais il faut pouvoir redescendre l'eau de son point de sortie à un point bas où vous pourrez installer la turbine. Sauf erreur de ma part, la puissance théorique est P = 7/3600*9.81*h(chute entre le point de sortie et la turbine)*0.5 à 0.7 (rdt global de l'instalation) soit env 114 W pour 10 m de chute et 1.1 Kw pour 100 m de chute.
Merci aux forumeurs compétents, de nous dire si le calcul est bon et si la conclusion qui s'impose est aussi évidente qu'elle en a l'air.
Philippe
Si l'eau remonte seule du forage (et avec les autorisations qui vont bien) vous avez effectivement un potentiel de production.Mais il faut pouvoir redescendre l'eau de son point de sortie à un point bas où vous pourrez installer la turbine. Sauf erreur de ma part, la puissance théorique est P = 7/3600*9.81*h(chute entre le point de sortie et la turbine)*0.5 à 0.7 (rdt global de l'instalation) soit env 114 W pour 10 m de chute et 1.1 Kw pour 100 m de chute.
Merci aux forumeurs compétents, de nous dire si le calcul est bon et si la conclusion qui s'impose est aussi évidente qu'elle en a l'air.
Philippe
- dB-)
- Site Admin
- Messages : 4352
- Inscription : 24 janv. 2010, 17:09
- Localisation : Vosges
- Contact :
Re: Utiliser de l'eau extraite du forage et la transformer en Energie électrique?
Bonjour,
ça me parait compliqué tout ça ...
Un petit schéma ne ferait pas de mal, comme celui ci-dessous que j'avais publié il y a quelques années dans un cas semblable
Bonne journée
dB-)
ça me parait compliqué tout ça ...
Un petit schéma ne ferait pas de mal, comme celui ci-dessous que j'avais publié il y a quelques années dans un cas semblable
Bonne journée
dB-)
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
didier Beaume, DBH Sarl 33 les Chênes 88340 Le Val d'Ajol, RCS Epinal Siren 510 554 835 capital 50 000 € APE 3511Z TVA FR82510554835
Etudes, vente et pose de turbines, rénovation, régulation, maintenance, vannes, grilles, dégrilleurs
Microcentrale avec une Kaplan DR 1600 l/s @ 4.80 m en entraînement direct @ 500 tr/min
Site Web DBH Sarl.eu
Etudes, vente et pose de turbines, rénovation, régulation, maintenance, vannes, grilles, dégrilleurs
Microcentrale avec une Kaplan DR 1600 l/s @ 4.80 m en entraînement direct @ 500 tr/min
Site Web DBH Sarl.eu
Turbine portative, hydrolienne, mini turbine, ...
Bonjour à tous,
Merci pour ces premières réponses. Qui sont... peu encourageantes.
Ce ne serait pas sur un canal, mais sur l'Oise ou la Seine. Un courant nettement plus fort !
6kw c'est nécessaire. J'ai des machines qui le nécessitent. Pas beaucoup, mais gourmandes.
Le solaire... au nord de la loire... je vais me renseigner pour voir la surface nécessaire pour obtenir cette production moyenne sur le forum que vous avez indiqué. Mais, clairement ce n'est pas mon idée première.
Des batteries en fond : oui c'était prévu. 400+ tonnes c'est la charge usuellement transportée par les "Freycinet". Mais bon, reste plus beaucoup de place pour vivre après
Comme je ne suis pas certain de comprendre tous les tenants & aboutissants, je me permets de vous reposer quelques questions. Par avance je vous remercie de votre patience.
Pour moi P=UI et c'est aussi valable dans l'eau si je puis dire. Je suis rameur et je peux avancer à la même vitesse en ramant lent et puissant ou vite mais avec moins de puissance. C'est pourquoi je me demande s'il est possible de compenser le manque de vitesse du courant par sa puissance.
De ce que j'ai trouvé sur le net, il existe maintenant des alternateurs "basse vitesse". Qui ne sont peut être pas révolutionnaires, mais qui ont sans doute une plus grande efficacité que ce que l'on faisait "jadis".
Et, surtout, j'ai vu deux exemples qui me parlent : Orléans le projet a fonctionné et ils vont en installer 39 sur le Rhône. Donc ça fonctionne. Certes je ne profiterai pas du courant de ces deux fleuves, mais mes besoins sont nettement moindres...
Il y a aussi cette vidéo sur Youtube où les gars prétendent sortir 12 kw/h. Le courant (vitesse) est plus important que celui dont je pourrai profiter, mais l'installation petite.
Alors, transformer le couple en vitesse. C'est possible ?
Cordialement,
J
Merci pour ces premières réponses. Qui sont... peu encourageantes.
Ce ne serait pas sur un canal, mais sur l'Oise ou la Seine. Un courant nettement plus fort !
6kw c'est nécessaire. J'ai des machines qui le nécessitent. Pas beaucoup, mais gourmandes.
Le solaire... au nord de la loire... je vais me renseigner pour voir la surface nécessaire pour obtenir cette production moyenne sur le forum que vous avez indiqué. Mais, clairement ce n'est pas mon idée première.
Des batteries en fond : oui c'était prévu. 400+ tonnes c'est la charge usuellement transportée par les "Freycinet". Mais bon, reste plus beaucoup de place pour vivre après
Comme je ne suis pas certain de comprendre tous les tenants & aboutissants, je me permets de vous reposer quelques questions. Par avance je vous remercie de votre patience.
Pour moi P=UI et c'est aussi valable dans l'eau si je puis dire. Je suis rameur et je peux avancer à la même vitesse en ramant lent et puissant ou vite mais avec moins de puissance. C'est pourquoi je me demande s'il est possible de compenser le manque de vitesse du courant par sa puissance.
De ce que j'ai trouvé sur le net, il existe maintenant des alternateurs "basse vitesse". Qui ne sont peut être pas révolutionnaires, mais qui ont sans doute une plus grande efficacité que ce que l'on faisait "jadis".
Et, surtout, j'ai vu deux exemples qui me parlent : Orléans le projet a fonctionné et ils vont en installer 39 sur le Rhône. Donc ça fonctionne. Certes je ne profiterai pas du courant de ces deux fleuves, mais mes besoins sont nettement moindres...
Il y a aussi cette vidéo sur Youtube où les gars prétendent sortir 12 kw/h. Le courant (vitesse) est plus important que celui dont je pourrai profiter, mais l'installation petite.
Alors, transformer le couple en vitesse. C'est possible ?
Cordialement,
J
- moulino51
- Membre
- Messages : 3642
- Inscription : 11 févr. 2010, 09:45
- Localisation : Région de Reims
- Contact :
Turbine portative, hydrolienne, mini turbine, ...
Malheureusement les lois de la physique
6 kw ponctuels ne font pas 6 kW permanent.
Gé
6 kw ponctuels ne font pas 6 kW permanent.
Gé
"Il ne suffit pas de regarder quelle planète nous allons laisser à nos enfants
mais aussi quels enfants nous laisserons à la planète"
mais aussi quels enfants nous laisserons à la planète"
- PERRET
- Membre
- Messages : 951
- Inscription : 16 mars 2010, 17:12
- Localisation : Picardie - Thiérache
Turbine portative, hydrolienne, mini turbine, ...
Bonjour,
Votre projet n'est pas viable.
Il y a toujours eu des "inventeurs" du mouvement perpétuel. On doit trouver des vidéos sur le net.
Prenons votre cas.
Sur les cours d'eau cités, la vitesse de l'eau ne doit pas y dépasser 0,5 m/s, et encore, dans des endroits particulièrement favorables.
- 0,5 m/s correspond à une hauteur de chute de 0,5^2 /19,62 = 0,013 m. (13 mm)
Pour obtenir 6 kW, sans barrage, en utilisant la force vive du courant et en admettant un rendement (optimiste) de l'installation de 40 %, il faudrait pouvoir faire transiter dans la roue ou la machine qui reste à inventer :
6 kW / 9,81 / 0,013 m / 40 % = 118 m3/s !
Soit plus que le débit moyen interannuel de l'Oise à Pont-Sainte-Maxence qui est de 109 m3/s.
Bon courage.
Votre projet n'est pas viable.
Il y a toujours eu des "inventeurs" du mouvement perpétuel. On doit trouver des vidéos sur le net.
Prenons votre cas.
Sur les cours d'eau cités, la vitesse de l'eau ne doit pas y dépasser 0,5 m/s, et encore, dans des endroits particulièrement favorables.
- 0,5 m/s correspond à une hauteur de chute de 0,5^2 /19,62 = 0,013 m. (13 mm)
Pour obtenir 6 kW, sans barrage, en utilisant la force vive du courant et en admettant un rendement (optimiste) de l'installation de 40 %, il faudrait pouvoir faire transiter dans la roue ou la machine qui reste à inventer :
6 kW / 9,81 / 0,013 m / 40 % = 118 m3/s !
Soit plus que le débit moyen interannuel de l'Oise à Pont-Sainte-Maxence qui est de 109 m3/s.
Bon courage.
Claude PERRET
Turbine portative, hydrolienne, mini turbine, ...
Merci à vous deux pour ces réponses. L'air de rien, j'avance un peu.
Je ne cherche pas à inventer le mouvement perpétuel. J'ai bien compris, comme rameur, que si je veux que mon skiff avance il faut que je lui donne de l'énergie. Et, devinez quoi, si je veux qu'il continue d'avancer ; faut que je continue de lui donner de l'énergie.
Je cherche, à trouver une autonomie en énergie. Mais, comme précisé dans mon premier message, je suis béotien. Aux innocents les mains pleines...
Je vous ai lu. Vous me proposez un calcul que je ne comprends pas parce que je n'ai pas les outils pour le faire. Mais si vous voulez bien m'expliquer comment vous avez procédé, je serais plus en mesure de faire la part des possibles.
J'ai entre temps regardé le forum photovoltaïque conseillé. J'avais écarté cette possibilité parce que je pensais qu'il fallait des surfaces considérables pour produire des kwh d'une part et que ma situation géographique n'était pas particulièrement propice. Maintenant, je me dis qu'un mix énergétique... Où la crue compenserait le manque de soleil...
Pour ce qui est de mes besoins, ayant rencontré des problèmes de stabilité de courant là où je suis actuellement, j'avais envisagé l'achat d'un onduleur + batterie dont le but aurait été non seulement d'avoir du courant propre & stable, mais aussi de faire relai pendant les micro coupures qu'on avait. Au moment de dimensionner la chose on avait trouvé qu'entre la conso normale de l'atelier, son chauffage et les machines les besoin étaient de couvrir 6kva. La broche de la CNC c'est 1,8KVA. Mais pas en permanence. Les appels de courants sont très brutaux aux démarrages plus cool une fois lancé. Il en va de même pour le compresseur (en plus fort). La difficulté est que ces appels de puissance sont ponctuels, multiples et souvent simultanés. c'est pour cela qu'en plus de l'onduleur pour la régularisation, nous avions regardé les batteries pour la disponibilité de courant. La situation EDF s'est arrangée depuis et nous ne sommes pas allé au bout de l'équipement.
J'ai l'opportunité de tout installer sur un bateau mais celui-ci ne serait pas branché sur le réseau en permanence. D'où la volonté de devenir autonome. Il est équipé d'un groupe électrogène pouvant tourner de longues heures ce qui assurerait un (polluant & coûteux) relai le cas échéant.
Et, pour terminer de parler de moi, je n'ai pas le bagage mathématique ou le diplôme d'ingénieur me permettant de mettre toutes mes données en équation, mais un bon sens pratique intuitif. Sans doute ce qu'il y a de plus dangereux pour les rêveurs comme moi, mais bon.
Voici la façon dont je voyais la chose
Une roue horizontale de 2m de diamètre avec des palettes verticales de 50cm de haut sur 30cm de large complètement immergées et rabattables sur les 180+° de remontée du courant. Ce qui permettait d'éviter les embâcles de surface.
Un courant effectivement de 0,5 m/s soit, pour les 6.25 m de périmètre, 4,5 tours par minute. Les arrondis sont conservateurs et le courant est à sa période estivale.
Et c'était de là que venait ma réflexion sur p=ui. Puis-je transformer ces 4,5 tours/minute en "n" t/minute suffisants pour approvisionner un alternateur.
Je ne doute pas qu'il y ait des plafonds infranchissables (pas certain d'obtenir l'autorisation de faire un barrage mobile sur l'Oise ou la Seine). Mais, l'expérience d'Orléans est quand même concluante avec des chiffres au dessus de ceux que j'espère obtenir. L'unité du Canada est commercialisée.
Il doit y avoir une "taille critique" où on optimise le courant et le débit disponible pour une production donnée. Non ? Pas que je remette en cause le paramètre de "hauteur de chute" que vous mentionnez. Mais le fonctionnement là parait différent. Non ? Une hauteur de chute c'est la possibilité d'accélérer le débit de l'eau. Un peu comme avec les "cônes" de sortie (pas mémorisé le vocabulaire désolé) que vous mettez pour "aspirer" le courant. Ici ce n'est pas possible. Un entonnoir permettrait peut être d'augmenter la force, mais son vis-à-vis ne permettrait pas de passer plus d'eau (incompressible). C'est aussi un peu pour ça que j'ai réduit mes calculs à un nombre de tours minute. Mais je suis sans doute dans l'erreur.
Sauriez-vous me dire la quantité d'énergie que pourrait développer ma roue ?
Merci encore pour votre aide.
J
Je ne cherche pas à inventer le mouvement perpétuel. J'ai bien compris, comme rameur, que si je veux que mon skiff avance il faut que je lui donne de l'énergie. Et, devinez quoi, si je veux qu'il continue d'avancer ; faut que je continue de lui donner de l'énergie.
Je cherche, à trouver une autonomie en énergie. Mais, comme précisé dans mon premier message, je suis béotien. Aux innocents les mains pleines...
Je vous ai lu. Vous me proposez un calcul que je ne comprends pas parce que je n'ai pas les outils pour le faire. Mais si vous voulez bien m'expliquer comment vous avez procédé, je serais plus en mesure de faire la part des possibles.
J'ai entre temps regardé le forum photovoltaïque conseillé. J'avais écarté cette possibilité parce que je pensais qu'il fallait des surfaces considérables pour produire des kwh d'une part et que ma situation géographique n'était pas particulièrement propice. Maintenant, je me dis qu'un mix énergétique... Où la crue compenserait le manque de soleil...
Pour ce qui est de mes besoins, ayant rencontré des problèmes de stabilité de courant là où je suis actuellement, j'avais envisagé l'achat d'un onduleur + batterie dont le but aurait été non seulement d'avoir du courant propre & stable, mais aussi de faire relai pendant les micro coupures qu'on avait. Au moment de dimensionner la chose on avait trouvé qu'entre la conso normale de l'atelier, son chauffage et les machines les besoin étaient de couvrir 6kva. La broche de la CNC c'est 1,8KVA. Mais pas en permanence. Les appels de courants sont très brutaux aux démarrages plus cool une fois lancé. Il en va de même pour le compresseur (en plus fort). La difficulté est que ces appels de puissance sont ponctuels, multiples et souvent simultanés. c'est pour cela qu'en plus de l'onduleur pour la régularisation, nous avions regardé les batteries pour la disponibilité de courant. La situation EDF s'est arrangée depuis et nous ne sommes pas allé au bout de l'équipement.
J'ai l'opportunité de tout installer sur un bateau mais celui-ci ne serait pas branché sur le réseau en permanence. D'où la volonté de devenir autonome. Il est équipé d'un groupe électrogène pouvant tourner de longues heures ce qui assurerait un (polluant & coûteux) relai le cas échéant.
Et, pour terminer de parler de moi, je n'ai pas le bagage mathématique ou le diplôme d'ingénieur me permettant de mettre toutes mes données en équation, mais un bon sens pratique intuitif. Sans doute ce qu'il y a de plus dangereux pour les rêveurs comme moi, mais bon.
Voici la façon dont je voyais la chose
Une roue horizontale de 2m de diamètre avec des palettes verticales de 50cm de haut sur 30cm de large complètement immergées et rabattables sur les 180+° de remontée du courant. Ce qui permettait d'éviter les embâcles de surface.
Un courant effectivement de 0,5 m/s soit, pour les 6.25 m de périmètre, 4,5 tours par minute. Les arrondis sont conservateurs et le courant est à sa période estivale.
Et c'était de là que venait ma réflexion sur p=ui. Puis-je transformer ces 4,5 tours/minute en "n" t/minute suffisants pour approvisionner un alternateur.
Je ne doute pas qu'il y ait des plafonds infranchissables (pas certain d'obtenir l'autorisation de faire un barrage mobile sur l'Oise ou la Seine). Mais, l'expérience d'Orléans est quand même concluante avec des chiffres au dessus de ceux que j'espère obtenir. L'unité du Canada est commercialisée.
Il doit y avoir une "taille critique" où on optimise le courant et le débit disponible pour une production donnée. Non ? Pas que je remette en cause le paramètre de "hauteur de chute" que vous mentionnez. Mais le fonctionnement là parait différent. Non ? Une hauteur de chute c'est la possibilité d'accélérer le débit de l'eau. Un peu comme avec les "cônes" de sortie (pas mémorisé le vocabulaire désolé) que vous mettez pour "aspirer" le courant. Ici ce n'est pas possible. Un entonnoir permettrait peut être d'augmenter la force, mais son vis-à-vis ne permettrait pas de passer plus d'eau (incompressible). C'est aussi un peu pour ça que j'ai réduit mes calculs à un nombre de tours minute. Mais je suis sans doute dans l'erreur.
Sauriez-vous me dire la quantité d'énergie que pourrait développer ma roue ?
Merci encore pour votre aide.
J
- moulino51
- Membre
- Messages : 3642
- Inscription : 11 févr. 2010, 09:45
- Localisation : Région de Reims
- Contact :
Turbine portative, hydrolienne, mini turbine, ...
Voila bien la, les infos les plus importantesJ'ai l'opportunité de tout installer sur un bateau mais celui-ci ne serait pas branché sur le réseau en permanence. D'où la volonté de devenir autonome. Il est équipé d'un groupe électrogène pouvant tourner de longues heures ce qui assurerait un (polluant & coûteux) relai le cas échéant.
Supposons une installation PV qui stockerait l'énergie en permanence dans un groupe de batteries.
Et la restituerais a la demande par un onduleur (costaud l'onduleur)
A partir de la, les calculs se font sur par exemple un relevé de consommation actuelle sur le réseau EDF, sachant que pour un calcul rapide, il faut prendre 400 Wh de moyenne sur 24 heures pour une installation dite de 3kWCrète.
3kWC représentent environ 20 m2 de PV soit 20 Wh constants sur 24 heures par m2
Quelques règles de trois et tu connais la surface de panneaux a installer.
Le stockage le plus simple est réalisé en batterie plomb et ce n'est pas le poids qui est handicapant sur une péniche (attention a bien ventiler)
On peut aussi trouver des batteries de traction NiCd reconverties (mes monoblocs de Clio électrique entament une seconde vie dans le Jura pour justement du stockage PV).
A savoir également, maintenant il existe des onduleurs inverter qui peuvent séparer le courant quand on est raccordé au réseau (fonctionnement automatique)
Je ne répondrais pas sur la roue, car c'est une impasse.
Gé
"Il ne suffit pas de regarder quelle planète nous allons laisser à nos enfants
mais aussi quels enfants nous laisserons à la planète"
mais aussi quels enfants nous laisserons à la planète"
-
- Membre
- Messages : 31
- Inscription : 12 août 2015, 01:00
- Localisation : Massif cental, bassin du Rhône
Re: Utiliser de l'eau extraite du forage et la transformer en Energie électrique?
Bonsoir
Une installation à la shadock :roll:
Bonne soirée
Philippe
Une installation à la shadock :roll:
Bonne soirée
Philippe
-
- Membre
- Messages : 1277
- Inscription : 13 juin 2011, 14:36
- Localisation : Sud Ardéche
Turbine portative, hydrolienne, mini turbine, ...
Bonjour,
Pour le projet Hydro, je ne développerais pas car c'est une utopie. Les projets dont tu parle, on en reparle dans 5 ans......
Pour ton besoin énergétique, il faut que tu comprenne la différence entre la puissance instantanée maximum dont tu as besoin (KW)
et la quantité d’énergie journalière dont tu as besoin (kw/h, kilowatt par heure)
si tu as 6kw pendant une minute et 59 minutes rien il te faut 0.1 kilowattheure pour cette heure là
Eric
Pour le projet Hydro, je ne développerais pas car c'est une utopie. Les projets dont tu parle, on en reparle dans 5 ans......
Pour ton besoin énergétique, il faut que tu comprenne la différence entre la puissance instantanée maximum dont tu as besoin (KW)
et la quantité d’énergie journalière dont tu as besoin (kw/h, kilowatt par heure)
si tu as 6kw pendant une minute et 59 minutes rien il te faut 0.1 kilowattheure pour cette heure là
Eric