Bonjour,
Ce meunier a fait clairement le choix de garder autant que possible tous les éléments d'origine. En ce qui concerne le réglage des meules par le pivot du bas, c'était le même dans mon moulin, mais chez moi les cuves sont entièrement en maçonnerie. Du coup toutes les interventions sur le palier du bas de ma nouvelle installation nécessites de ramper un peu.
Rouets
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Re: Rouets
Bonjour à tous.
J'ai finalement trouvé un onduleur bien mieux adapté à mon rouet. Et je regrette beaucoup de ne pas l'avoir trouvé plus tôt car il comporte des réglages très intéressants : Il s'agit d'un onduleur autrichien : le modèle Fronius Primo.
Premier point il accepte jusqu'a 1000V en entrée. Pour rappel mon installation fournit à vide 700V. Donc plus besoin de prévoir un freinage par une charge résistive . Le précédent n'acceptait que 550V.
Deuxième point : au premiers tests en mode MPPT cet onduleur freinait beaucoup le rouet : la vitesse tombait à 50 tr/mn et était instable. Et puis j'ai découvert que l'on peut le régler pour fonctionner à tension fixe, par exemple 450 V. Dans ce cas l'onduleur travaille à tension fixe et tire simplement plus ou moins de courant selon l'ouverture de la vanne. De cette façon la vitesse de rotation du rouet est fixe 125 tr/mn, le rendement est bien meilleur et le fonctionnement parfaitement stable. J'ai testé plusieurs valeurs de tension : chez moi 450 V semble être l'optimum.
Par ailleurs cette société et son revendeur français assurent un excellent SAV et de nombreux documents techniques. Avec mon précédent onduleur, Omnik, il n'y avait aucun soutien ni SAV.
Voila je tenais à fournir cette information à ceux qui souhaiteraient utiliser un onduleur prévu pour le photovoltaïque.
J'ai finalement trouvé un onduleur bien mieux adapté à mon rouet. Et je regrette beaucoup de ne pas l'avoir trouvé plus tôt car il comporte des réglages très intéressants : Il s'agit d'un onduleur autrichien : le modèle Fronius Primo.
Premier point il accepte jusqu'a 1000V en entrée. Pour rappel mon installation fournit à vide 700V. Donc plus besoin de prévoir un freinage par une charge résistive . Le précédent n'acceptait que 550V.
Deuxième point : au premiers tests en mode MPPT cet onduleur freinait beaucoup le rouet : la vitesse tombait à 50 tr/mn et était instable. Et puis j'ai découvert que l'on peut le régler pour fonctionner à tension fixe, par exemple 450 V. Dans ce cas l'onduleur travaille à tension fixe et tire simplement plus ou moins de courant selon l'ouverture de la vanne. De cette façon la vitesse de rotation du rouet est fixe 125 tr/mn, le rendement est bien meilleur et le fonctionnement parfaitement stable. J'ai testé plusieurs valeurs de tension : chez moi 450 V semble être l'optimum.
Par ailleurs cette société et son revendeur français assurent un excellent SAV et de nombreux documents techniques. Avec mon précédent onduleur, Omnik, il n'y avait aucun soutien ni SAV.
Voila je tenais à fournir cette information à ceux qui souhaiteraient utiliser un onduleur prévu pour le photovoltaïque.
- dB-)
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Re: Rouets
Bonjour,
merci pour ce retour d'expérience !
Tout à fait, je connais ce modèle mais je ne l'ai pas encore testé (il y a en gros une soixantaine de marques à tester !! j'en connais bien une dizaine seulement)
Oui, c'est une précaution élémentaire qu'il faut prendre, la plage de tension en entrée de l'onduleur doit inclure la tension maximale en sortie de redresseur, turbine emballée, c'est ce que j'ai mentionné ici en 2015 puis ici en 2017.
Vous avez eu de la chance que l'onduleur ne soit pas détruit. En mode MPPT certains onduleurs mettent carrément l'entrée DC en court circuit, ce qui ne pose pas de problème en photovoltaïque (le courant de court circuit est de l'ordre du courant nominal), mais pose un sérieux problème avec un PMG (le courant de court circuit peut être des dizaines de fois supérieur au courant nominal, et l'onduleur ou les fusibles sautent !), c'est pourquoi il faut dévalider le MPPT (ce que j'ai déjà indiqué ici en 2019).
Tout à fait, voir le lien juste au dessus, comme la tension du courant redressé en sortie d'un PMG reflète directement la vitesse de la turbine, en ajustant cette tension en entrée de l'onduleur on peut trouver le point de fonctionnement optimal de la turbine.
Une autre précaution à prendre est d'avoir une excellente isolation galvanique au niveau des bobinages du PMG, chose assez facile à obtenir avec un PMG hors d'eau, mais qui pose problèmes sur certaines petites turbines bulbe à générateur immergé.
Bonne journée
dB-)
merci pour ce retour d'expérience !
Il s'agit d'un onduleur autrichien : le modèle Fronius Primo.
Tout à fait, je connais ce modèle mais je ne l'ai pas encore testé (il y a en gros une soixantaine de marques à tester !! j'en connais bien une dizaine seulement)
Premier point il accepte jusqu'a 1000V en entrée. Pour rappel mon installation fournit à vide 700V. Donc plus besoin de prévoir un freinage par une charge résistive . Le précédent n'acceptait que 550V.
Oui, c'est une précaution élémentaire qu'il faut prendre, la plage de tension en entrée de l'onduleur doit inclure la tension maximale en sortie de redresseur, turbine emballée, c'est ce que j'ai mentionné ici en 2015 puis ici en 2017.
Deuxième point : au premiers tests en mode MPPT cet onduleur freinait beaucoup le rouet : la vitesse tombait à 50 tr/mn et était instable.
Vous avez eu de la chance que l'onduleur ne soit pas détruit. En mode MPPT certains onduleurs mettent carrément l'entrée DC en court circuit, ce qui ne pose pas de problème en photovoltaïque (le courant de court circuit est de l'ordre du courant nominal), mais pose un sérieux problème avec un PMG (le courant de court circuit peut être des dizaines de fois supérieur au courant nominal, et l'onduleur ou les fusibles sautent !), c'est pourquoi il faut dévalider le MPPT (ce que j'ai déjà indiqué ici en 2019).
Et puis j'ai découvert que l'on peut le régler pour fonctionner à tension fixe, par exemple 450 V.
Tout à fait, voir le lien juste au dessus, comme la tension du courant redressé en sortie d'un PMG reflète directement la vitesse de la turbine, en ajustant cette tension en entrée de l'onduleur on peut trouver le point de fonctionnement optimal de la turbine.
Une autre précaution à prendre est d'avoir une excellente isolation galvanique au niveau des bobinages du PMG, chose assez facile à obtenir avec un PMG hors d'eau, mais qui pose problèmes sur certaines petites turbines bulbe à générateur immergé.
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Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
didier Beaume, DBH Sarl 33 les Chênes 88340 Le Val d'Ajol, RCS Epinal Siren 510 554 835 capital 50 000 € APE 3511Z TVA FR82510554835
Etudes, vente et pose de turbines, rénovation, régulation, maintenance, vannes, grilles, dégrilleurs
Microcentrale avec une Kaplan DR 1600 l/s @ 4.80 m en entraînement direct @ 500 tr/min
Site Web DBH Sarl.eu
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Re: Rouets
Bonjour à tous.
Merci dB pour ce commentaire et ces précisions. Décidément, même avec la magie d'internet il reste bien difficile d'obtenir toutes les informations nécessaires lorsqu'on se lance dans un nouveau projet et je vois que j'étais passé à coté!
Merci dB pour ce commentaire et ces précisions. Décidément, même avec la magie d'internet il reste bien difficile d'obtenir toutes les informations nécessaires lorsqu'on se lance dans un nouveau projet et je vois que j'étais passé à coté!