Re: Interpretation d'un reglemnt d'eau
Publié : 08 oct. 2012, 09:59
Bonjour
Vous semblez dire que même si une autorisation post-1790 liée à une augmentation de puissance d'un site est intervenue, il est toujours possible de demander à la préfecture de revenir à la puissance originelle du fondé en titre pré-1790.
Je pensais que c'était difficile (ci-dessus échange avec Ticapix), mais c'est peut-être jouable d'après :
http://www.developpement-durable.gouv.f ... _titre.pdf
Ce Guide de police des DFT précise en effet en page 15 :
En attendant que lacense précise de quoi il retourne pour le cas précis qu'il nous a soumis, c'est sur votre citation ci-dessus que l'interprétation est incertaine.altoto a écrit : Ensuite, vous avez des sites fondé en titre pour xx kW et autorisé pour yy kW (dans le cas d'augmentation de puissance par exemple). Lorsque l'autorisation à yy kW "tombe", le moulin peut continuer à fonctionner sur son fondé en titre à xx kW en remettant bien sur la hauteur de chute et le débit dérivé qui correspondent à ces xx kW, même si les ouvrages ont été modifiés.
Vous semblez dire que même si une autorisation post-1790 liée à une augmentation de puissance d'un site est intervenue, il est toujours possible de demander à la préfecture de revenir à la puissance originelle du fondé en titre pré-1790.
Je pensais que c'était difficile (ci-dessus échange avec Ticapix), mais c'est peut-être jouable d'après :
http://www.developpement-durable.gouv.f ... _titre.pdf
Ce Guide de police des DFT précise en effet en page 15 :
Donc ce serait uniquement les extensions de puissance qui seraient soumises à autorisation et renouvellement d'autorisation : c'est encourageant (et c'est l'interprétation de Ticapix, MHEC et moi-même étions plus sceptiques).Les modifications apportées à un ouvrage fondé en titre pour en augmenter la puissance n'ont pas pour conséquence de faire disparaître le droit fondé en titre qui demeure dans la limite de sa consistance légale, mais de soumettre la puissance supplémentaire issue de la modification à autorisation, selon la procédure de la loi de 1919